Attention, c'est du grand Guy Gnôle

On raconte souvent des histoires de Guy Gnôle aux enfants pour les faire rire et donc on les expurge (les enfants ?) de toutes références à la sexualité qui n'effraient (Hou, hou !) que les parents qui ont la mémoire courte.

Sur ce site nous disons tout alors à bas la lobo-censure et penchons nous bien bas sur la vie sexuelle des marionnettes lyonnaises.

Moi aussi je construis des marionnettes ; voici en ordre d'apparition :

Gnafron Jules, le bachelier insurgé / Le gendarme Bicorne, police de proximité / La mère Cottivet, concierge à moustaches / Le père Fouettard, nostalgique napoléonien / Le gros caillou, monument post-glaciaire

Quand Guy Gnôle a trop bu, il saute sur n'importe qui, ici Gnafron : " Arf, arf ... " " Tu es complètement soûl Guy Gnôle, c'est moi Gnafron ! "

C'est au tour du gendarme Bicorne : " Arf, arf ... " " Arrêtez, au nom de la loi ! "

La pauvre mère Cottivet " Arf, arf ... " " Mais vous êtes fou monsieur Gnôle, pas ici ! "

Et même le père Fouettard " Arf, arf ... " " Nous sommes cernés, vive l'empereur ! "

Le gros caillou " Arf, arf ... " Quelques bourgeois terrorisés : " Ces prolétaires ne respectent rien, même pas le patrimoine ! "

Erudition de Lyon

L'influence guygnôlesque a franchi les Pyrénées ou curieusement on la retrouve sous la forme de caleçons ibériques, les " espagnôlettes "; très pratiques pour ceux qui vont toujours tout nus.
L'anarchiste croix-roussien a commis quelques noirs dessins que les collectionneurs s'arrachent sous le nom de " croquis-Gnôle ", nous n'en possédons pas car ils sont rares et donc chers.
Grâce à ses quelques connaissances en mathématiques il a aussi pu ajouter manuellement deux décimales au nombre Pi qui devint donc Pi-Gnôle ; c'est à peu près tout ce que nous savons du facétieux.