FONDATION GELLIPANE

PROGRAMMATION

 

 

" DEFIGURATION
FRANCAISE
"
ARTISTE :
- LAFONDUE -
GENRE : ou bien art
EXPOSITION n° 30 - 3

.

 

 

La boucle étant bouclée (et les harnais attachés), passons à mademoiselle Lafondue, suissesse du Balais (pardon, du Valais).
Mais que fait donc une helvète dans la " Défiguration française" ?
Vous vous posez trop de questions, d'abord l'art ne connaît pas de frontières ; bien dit !
Ensuite c'est la principale caractéristique des mouvements artistiques de regrouper des gens qui n'ont pas grand-chose à voir ensemble et qui bien souvent ne se connaissent même pas.
Pourquoi ?

Pour faire nombre (a) ou bien ...
Pour faire joli (b) ou bien ...
Pour les besoins de la publicité (c)

Cochez votre ou vos réponses.

Ou bien simplement par erreur comme c'est sans doute le cas ici.
En effet, mademoiselle Lafondue est née à Sion* où elle vit, travaille et expose toujours et encore.
La dernière exposition de ses grands dessins s'intitulait " Des figures à Sion " d'où la confusion que d'ailleurs personne n'a remarqué tant la logique et le sens critique sont à leur plus bas niveau depuis, disons, l'invention du fil à couper la fondue.

Les figures à Sion à l'origine de la confusion.

* Sion : à ce propos, signalons que son amie d'enfance Lafèle (quel joli nom d'artiste) expose en ce moment dans cette charmante petite ville.

" J'allais le dire et vous me l'avez ôté de la bouche !"
Ajoutons encore pour bien enfoncer le clou que sa grand-mère tenait une boutique de fallafèles (et de souvenirs) à Sion donc.

Deux " défigurations " franco-suisses.

 

LA REVOLTE-FACE

Peldugland est fou furieux, il ne supporte pas d'avoir été exclu de la " Défiguration française " à laquelle il se consacre autant (sinon plus) que beaucoup d'autres.

Passons ... non, ne passons pas !
Quand à la présence d'une suissesse une fois ... no comment.
Il pense aller à la Fondation tuer tout le monde, et il est bien parti pour ça.
" Par qui je vais commencer ? "
Chemin faisant, il imagine la scène de son futur massacre.

 

Puis il changea d'avis et décida de se battre avec ses propres moyens.

SON propre moyen en fait (car il n'en avait qu'un) : la paveintavure.
Le plastichien accrocha alors ses images partout dans la ville :

sur les cages d'escaliers moisies de l'intétérieur,

sur les chantiers déserts et poussiéreux,

sur les bars à vins de table,


sur les maisons " vertes " (avec éolienne)

 

et jusque sur les mignons cabanons péri-urbains.

" Partout j'écris ton nom : refusé* ! "
Avec l'aide de Paul et Luarre (et de leurs escabeaux).

* refusé : C'était le nom que Peldugland s'était donné en hommage à ses glorieux aînés dont il cherche vainement la trace.

 

 
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