Première station

L'INHIBITION DE LYON

L'inhibition était chez le futur Peldugland radicale, impérieuse et, lui semblait-il, définitive.
Dans ce cas-là, autant mourir tout de suite.
Il avait 25 ans, presque toutes ses dents et pas grand-chose d'autre, il était surtout las de souffrir inutilement (ce qui est bien légitime).

Son impatience et son insatisfaction allaient grandissantes comme deux soeurs, un soir il décida (tout seul et de sa propre volonté) d'agir, un mot nouveau, magique et dangereux pour lui. Tout fiévreux il prit à dessein un morceau de papier à dessin et il passa à l'acte.


Il traça avec application et minutie les traits d'un majestueux percheron ;
voilà, c'était fini, il venait de faire sa première " oeuvre ",
la malédiction de l'inhibition totale était levée.
Et il se sentait au moins capable d'une chose : apprendre.

 

Comme obéissant à un Tarzan électronique, les animaux viennent à son secours.
Populaire !
Ventre à terre, petites cornes ou défenses d'y voir (pardon, d'ivoire) toutes dressées.

 

 

 
Pour revenir à la page d'accueil
Station suivante