|

Il a réalisé
d'immenses peintures mais il fait des scènes chaque fois qu'on les accroche,
paraît-il.

|
On entend
un bruit de tracteur, c'est Péligano qui parcourt ainsi son exposition
tant elle est grande ; je suis bien content de l'avoir vu, ça me fera
un souvenir de Venise ! |

Vraiment Péligano
sur la navette, au musée, dans le train ou sur la plage, ça cartonne !

En sculpture aussi,
il touche sa bille, il tripote dirait-on dans la cour de l'école publique.
Ici deux pièces de fort calibre : à droite, " L'APERIKUBOR* " et à sa
gauche, l'étonnante " Glace au fromage " que peuvent lêcher les visiteurs,
les traces de langue sur la face inférieure de l'oeuvre sont le signe
d'une bonne fréquentation.
* APERIKUBOR
: " Un gros cube, un petit cube, c'est l'heure de l'APERIKUBOR " lit-on
sur la notice explicative.
Il y a aussi de la vidéo*
!
J'en ai assez vu, je suis convaincu, où sont les toilettes ?
" Veni, vidi et double-vici ! "
* vidéo : En l'occurence
une installation enkystée dans le tuf et titrée " Agiles avatars
", sur l'écran voisin, un Peligano holographique répète inlassablement
:
" Alors monsieur d'Ambert, la fourme ? "
|
|
Exit
ou sortie de secours ?
|
|