GUY TARSEICHE

Avec son groupe cuculte le " Pelduman Brothers Quartet ", Guy Tarseiche est entré dans la légende avant de ressortir "backstage" avec ses groupies virtuelles aux grands yeux clairs où il verra briller un beau reflet de l'admiration qu'il se porte.

Que ceux qui n'ont pas rêvé d'être un " guitar hero " lèvent le doigt !

Guy Tarseiche petit, la musique est dans sa tête et la guitare est dans sa main.

Sa première rencontre avec l'e-dole.

Son premier concert
gratuit

et son public de chambre renversée.

Il apprend d'abord la cornemuse et rencontrera Peldugland (comme ce monde est petit !)
lors d'un radio-crochet préhistorique.

Les premiers pas musicaux de Guy,
son premier groupe " Electro-gènes "
et sa première groupie, youpie !

Guy s'interroge,
que faire ? "
Ja rasta* Paris ! "
dit-il en secouant
ses dreads
toutes neuves.
* rasta :
reste de patois
bressan ;
traduction :
" Je reste à Paris ! "

 

Les idoles de Guy.

" Nous entrerons dans la carrière musicale quand nos aînés n'y seront plus ! "
déclaration d'indépendance américaine du musicien à Chicago au sympatique symposium sur la mavusavique*.
Ce fût le début d'une curieuse carrière de virtuose silencieux. quand à son style, il prétend jouer de la guitare éclectique, ce qui explique tout.

Les fastidieuses " balances ", les premières récompenses en chocolat tandis que " backstage " les musiciens se disputent, Guy a tout connu.


C'était avant la géniale invention des guitares qui jouent toutes seules : les regarder est un des rares moments où Guy regrette la jeunesse.
Telles des caméléons électriques, les guitares de Guy changent de couleur suivant son humeur.

* mavusavique : à ce sujet bruyant, consultez Denion de Lyon, LE dossier à notes multiples.

Car Guy Tarseiche n'a jamais su jouer de la guitare, pas un accord, pas une seule note, rien. Juste " sbloingue " et pas même le sommaire " sblongue ", pourtant facile.

Studio robotique, costumes de scène aux vives couleurs et guitares de rechange avec moins de cordes.


Alors les riffs, les chorus, les impros et les solos, n'en parlons pas ; en tout cas, pas avec lui.
Ce qui ne l'empêcha pas de jouer avec les plus grands, les plus petits et quelques moyens aussi.

Guy enchaîne les riffs approximatifs avec son nouvel orchestre à poils.
Il lui suffisait de brancher ses (très) lourds amplis de bois comme il le fit pour sa première tournée générale dans l'extrème nord (et toujours pas de Calais !).

Le réveil musical :


 

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