Huitième station

LA PROJECTION DE LYON

Grâce à une bonne projection e-nitiale, le plastichien saute d'état en état.

- Putagaz de france - Peltor le conquérant -

Et que deviennent les paveintavures pendant ce temps ?

Elles continuent leur mutation perpétuelle du simple au compliqué et ainsi de suite en espérant un e-pothétique état d'équilibre qui leur permettent de se tenir fermement au mur.

Pour celà tous les moyens sont bons ou envisageables, écrire sur les peintures en est un ; depuis une autre forme d'écriture est apparue qui illustre bien ce paradoxe apparent : cacher c'est dévoiler.
Serait-ce un sophisme, monsieur Peldugland ?
Non, c'est une façon de leur donner ce que nous recherchons avant tout (et hors tout le reste) :
une présence.

C'est ce que nous ressentons devant les peintures qui nous plaisent, c'est ce que nous désirons pour les paveintavures et donc nous en remettons une couche ; et encore une de plus pour la révélation de Lyon.
Et nous continuerons si le temps le permet et comme un hamster dans sa roue, à agir en ce sens.
La métaphore circulaire est parfaite car celle-ci va gentiment nous ramener à notre point de départ et d'interrogation.

 

Pour conclure énergiquement nous laisserons la parole à maître Jean, grand expérimentateur et pourfendeur de mollesses idéalo-artistiques et de fausses nouveautés :

" Je ne sais pas si je fais des peintures géniales, mais je ne vois pas d'autres intérêts à cette activité que d'essayer !"

 

Mais le fonctionnement ne lui laisse pas de répit (et nous non plus !).

 

Sinon, suivez le hamster !

 

 
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