JOURNAL D'UN PLASTICHIEN

Samedi 30 janvier

Voyage à Venise

AU MUSEO

 

- AU MUSEO -

 

Un bien joli édifice !

 

C'est vraiment le bon endroit pour étudier l'histoire de l'art derrière des vitres blindées.

Ah le rubicubisme a toujours des adeptes.
Un pointilliste pointilleux, des fauvistes africains, quelques remarquables jusqu'auboutistes et même le pompier de service mais pas un touriste sur les cimaises, Octave* serait furieux !

* Octave : Pour y comprendre quelque chose, remontez le temps jusqu'au Lundi 31 novembre ; c'est électroniquement possible alors profitez-en tant que ça marche.

L'abondance de chefs-d'oeuvre est souvent légèrement écoeurante.

Parlons doucement : l'expo " Péligano, un post-post-moderne ? " est tout au fond du musée, il va falloir se taper quarante siècles d'histoire de l'art, c'est parti mon pipi (pardon, mon kiki) !

 

SALLE DES STUCS

Voilà l'antiquité, ses rares visiteurs somnambuliques (A), sa brigade des stucs (B), ses débris de mosaïques péniblement reconstituées (C) et des stèles (D) comme s'il en pleuvait.

(A)
(B)
(C)
(D)

 

La renaissance, un très très gros morceau avec des belles peintures partout, ne pas regarder sinon tu es perdu, Peldu !

 

Et après, Léonard devint scie, comme dit la légende ?

 

Celle-ci je l'ai déjà vu quelque part,
elle a rasé ses moustaches,
c'est une fausse blonde !

 

Surtout ne pas se laisser distraire.

" Va bene ? "
" Si, si ; que calor... o sole mio ! "
" ??? "

 

 

Tous ces pâteux génies qui nous attendent !
L'aérien Spaghetti, le sensuel Canelloni, Panzani et son élève Buitoni, le grand Barilla, les frères Ravioli, Tortellini, Bonapétti, sans oublier le délicieux Gnocchi.

 

Je mets Rizotto à part, je le garde pour ma bonne bouche.
La bonne peinture, on en mangerait ...
... si on nous la donne en pâture.

 

Mais mon peintre préféré de la renaissance,
c'est encore Pinocho (pardon, Pinocchio).

 

Vous avez du Mozarella, le jeune de préférence ?
Non, juste quelques petits Gorgonzolla ; je suis déçu, en fait ils n'ont pas tout !

 

Toujours de Peldunetti cette " madone " avec son enfant, quelle pitié
(et quelle piété !), c'est à pleurer ..."

" Vénus et Mars " et ça repart, chapeau Peldunetti !

 

Autoportait de Peldunatti au mont Saint-Michel (traduction).

Ah, Peldunetti, quel visionnaire,
surtout de loin !

 

Enfin voilà l'exposition Péligano...

 

 
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