DE LA PAVEINTAVURE
DANS LES YEUX D'AUTRUI

 

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CRITIQUE

Procession critique.


 

Le critique critique tout le monde, partout et par tous les temps, c'est sa fonction.
Elle n'est pas drôle tous les jours fériés car la production artistique ne s'arrête jamais et attend d'être critiquée sur le parking humide où elle s'embouteille inutilement.


Le critique prend son oeil, son carnet, son stylo, ses bottes en caoutchoux et son imperméable* :
" Elles sont où les oeuvres ? "

* imperméable : remarquez qu'il travaille sans peldunettes de protection, ce qui est courageux vu le niveau d'e-radiations (de Lyon ?).

Critique sérieux au travail.

 

Certains critiques se moquent de vous ouvertement, ce ne sont pas les pires.

Trop de critiques en même temps, on ne peut plus répondre à toutes : néanmoins il faut faire face et même double-face.

C'est le moment critique,
le plastichien doit garder son sang chaud.

 

Malgré nos sourires, certains critiques restent absolument sévères...
...Car se prendre au sérieux demeure la meilleure façon d'être pris au sérieux ; d'où un handicap certain pour les rigolos dans le mauvais genre de Peldugland.

 

Les critiques ne manquent jamais à l'appel (du gland ?), curieusement on dit qu'" elles " pleuvent et pourtant si l'art est facile, la critique reste difficile.

Sourcilleuse observations

A gauche le critique A. (serbe d'origine) ;
à droite, un trio en phase critique, ils vont bientôt se lâcher ; le plus pénible restant ceux qui ne pensent rien.

 

MECENE

On en parle beaucoup, on ne les voit jamais ; aussi ce dossier reste déespérément vide.
Dans le monde post-moderne on les appellerait des investisseurs.

Mécènes e-maginaires : mécène de crime ou mécène comique ?

 

 
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