LE HEROS

 

Les ancêtres - L’époque merdiévale

 

 
 

 

L'amour courtois

 

En ce temps l'amour était courtois et délicat dans l'imaginaire des troubadours provençaux et fort rude dans la réalité des soudards soûlards du nord qui lui préféraient (de loin) le viol collectif.
Le damoiseau bien élevé, portait les couleurs* de sa dame, triomphait en son nom de tous les dangers avant de mourrir d'amour tout seul, épuisé mais ravi non sans avoir écrit une ode.
Il en existait de différentes sortes :
la cath-ode, une ode d'inspiration fermement catholique,
l'hip-ode qu'on écoutait les oreilles en dedans et enfin la terrible céphalopode (pardon, ces salopes-ode) pour les jours de colère.

 

Et comme à tout chevalier il faut un cheval, voici la rebuste monture de Fourme qui répond (quand il veut) au curieux nom de Pet-Gaz, percheron aux yeux rouges et aux flatulences meurtrières.

* couleurs : Généralement les héros profitent de leurs exploits, de leur renommée pour coucher avec toutes les femmes disponibles ; au haut moyen-âge, certains chevaliers voulaient seulement devenir le " champion " de leur dame et juraient de ne jamais monter que leurs fiers et larges destriers.
Pourquoi ?
Il faudrait leur demander.

Bernward porte, noué à son éjaculateur, la culotte de sa belle qu'il brandit bien haut dans la mélée sanglante.
Et si (pour X raisons) la belle n'avait pas de culotte ?
Le preux serait bien embarassé mais heureusement, dans les romans de chevalerie, c'est complètement impossible.

Voici quelques sous-vêtements merdiévaux devenus bannières hier :

culotte de la fée Morgane Detoit, suivie de celle de la douce Guemièvre, puis deux strings d'acier appartenant aux soeurs Darc, Jeanne et Mireille* et l'impressionnant et barbare slip dit " du couronnement " (en or dur et pierres semi-précieuses) de la terrible Berthe aux grands pieds dont voici, en plus, le gisant de grès.

 

 

Pour faire bon poids, le gisant de Bertrand du Déclin, son mari (aux grands pieds, lui aussi, ce doit être de famille).

* Mireille : Pour le portrait de Mireille Darc allez dans " La femme "


Femmes féodales (à ne pas confondre avec les fées-odalisques, quoique...)

Anne, enfermée dans sa tour d'ivoire de moeurs (pardon, de morses) ne voit toujours rien venir. Défense d'y voir de la poussière.

Et Loïse, la nonne à Bêlard*, devenue Sainte Nitouche.

* Bêlard était beau mais gémissait durant tout le carème sur sa partie perdue.

Mélusine en plein sortilège
" Ah Mélusine, c'est ma cousine ! "
chantait Bécassine comme quoi,
le monde est petit.

Tout au bout de l'étendage, tel un étendard (Et ton dard, au fait ?) d'amour, les froufrous, troutrous et dentelles ajourées d'un dessous célèbre en son temps, la belle Lurette dite " la courte Isane " vu son format réduit et que l'on rerouve (même s'il faut faire un effort, tout se mérite !) sur ces graffitis d'étuves merdiévales.

Donc, nous en avons maintenant la preuve, il y avait bel et bien des femmes au moyen-âge.

Et on y respectait la fécondité car on en avait bien besoin.


Les distractions féminines

 

 
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