FONDATION GELLIPANE

PROGRAMMATION

 

 

 

" L'ART PLOUC "
ARTISTES : AINDIGENES
GENRE : terroir-art
EXPOSITION n°
61
.

 

 

 

L'art plouc n'est pas exotique et pourtant il l'est totalement.
Contradiction, paradoxe simulé ou simple acrobatie ?
Tout à la fois avec un soupçon de terroir par dessus ; expliquons nous calmement : l'art plouc n'est pas exotique car il ne vient pas d'ailleurs, de loin de préférence et cela lui évite d'être fatigué par le voyage.
Si déplacement il y a, celui-ci est vertical, de haut en bas et en direction des racines.

Plouc de base

L'art plouc, c'est " la terre et les morts " dirait Charles au nom prédestiné, c'est la boue qui nous colle aux chaussures et pour e-lustrer ce propos, rien de tel qu'un petit tour à la Fondation Gellipane où sont exposés trois aindigènes républicains, un sculpteur, Armand Treuil, un peintre de chevalets*, Lapinchaux et un installationiste* néo-rural, le chevalier Fernand.

C'est alors qu'intervint Monsieur Plus (manipulé, nous le découvrirons trop tard, par Vil de Lyon) pour nous conseiller vivement d'exposer aussi le sieur Gastrau qui ne déparerait pas cette constellation d'allumés.
Une étoile de plus à notre firmament artistique.

* Monsieur Plus : Celui qui veut toujours en mettre (mais où, grand dieu ?) plus en bousculant l'ordre déjà établi.

Vous y conctaterez que l'art plouc, s'il est incontestablement indigène, n'est pas plus indigent, ni indigeste qu'un autre.

* chevalets : Sorte de petit cheval rustique, a pratiquement disparu.
* installationiste : Qui fait des installations.

 

 
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